Face à l’urgence environnementale et sociale, nombreux sont les appels à « faire sa part », chacun à son échelle : manger bio, faire du vélo, économiser du papier…
Mais ces dites solutions sont-elles à la taille de l’enjeu ?
Cette approche des « petits gestes positifs pour la planète » ne contribue-t-elle pas à un horizon d’engagement totalement dépolitisé ?
Loin de tout rejeter, cette analyse cherche à mieux décortiquer la « pensée colibri ».
Elle est surtout une invitation à poursuivre le débat.